Corps et langage circassien 

This book documents and discusses the meaning(s) of the creative process at play in the crafting and staging of circus acts. It highlights the experience of circus artists as their skills develop and mature into public performances that create aesthetic and emotional values in the modern economy of live spectacles. It scrutinizes the meaning that circus acts produce for the spectators and for the artists themselves who live this process from the inside. This is a book for those studying semiotics and wanting to see it applied to a real life milieu in accessible and passionate prose.

The Meaning of the Circus is grounded on the personal experience of Professor Paul Bouissac as both a circus entrepreneur and a researcher with decades of primary material on the significance of past and contemporary circus acts. It is based on substantial accounts provided by many men and women who have agreed to share the challenges, joys, and anxieties of their life as artists. Personal and rigorous, it contributes to the hermeneutics of the circus arts by adding existential depth to the production and reception of their performances.

La publication des actes du colloque "Du fil à la slackline" marque une première étape de recherche sur les disciplines circassiennes et sportives liées au fil (funambule, slackline, fil de fer). Cet ouvrage regroupe les contributions de plusieurs chercheur.euse.s issu.e.s de différents champs (arts de la scène, STAPS, histoire, ethnologie, arts plastiques et architecture) dans une optique transdisciplinaire. En deuxième partie de publication, trente-six entretiens inédits avec des artistes offrent un bel aperçu de la variété contemporaine des pratiques et des approches de l’équilibre sur fil et permettent, dans leurs points de convergence et leurs singularités, de dégager des pistes de réflexion sur les pratiques contemporaines du fil, sur ses invariants et ses renouvellements.

Thinking Through Circus gathers ten dialogues with and between circus artists. Each entry bears witness to how a specific circus practice is (also) a practice of critical thinking, revealing how feminism, queerness, dramaturgy, love, disobedience, posthumanism and the aesthetico-political imaginary are rethought in and through contemporary circus practice.

With this book, The Circus Dialogues wants to tend to the embodied relationships between contemporary circus and today’s world, defending circus as a field in which experimental thinking is already happening and can continue to happen. Doing so, we hope to contribute to a more sustainable circus, expanding both accountability and agency within our field.

The Circus Dialogues is a two-year artistic research project at KASK School of Arts Ghent (BE) led by Bauke Lievens (BE), Quintijn Ketels (BE), Sebastian Kann (US/DE) and accompanied by Vincent Focquet (BE). Our work delves into and makes space for encounters between theory and artistic circus practice. The Circus Dialogues aims to shine a light on the circus as a field in which experimental thinking is already happening, and we work to ensure the ongoingness of such thinking in an artistic and institutional ecology that’s long-term sustainable. We do this first and foremost through our diverse artistic practices. In parallel, we organize reading groups and collaborative gatherings for circus artists. We have also published several Open Letters to the Circus. Our activities are conceived with the intention of helping to imagine the circus field as both important and political. Most importantly, we defend circus as an open and undefinable form. [editor summary]

Ils ont choisi le cirque, créent des spectacles. vingt-cinq artistes de cirque, des plus jeunes au plus aguerris, prennent –enfin- la parole sur leur manière de travailler.
Pourquoi ont-ils choisi cet art, dans quelle filiation s’inscrivent-ils ? Comment élaborent-ils leur propos ? Avec quels partis pris ?
Quelle dramaturgie pour quel mouvement ?
Cet ouvrage est un portrait de trois générations, de leur art engagé. Un panorama qui traverse vint ans de création, et qui par le regard des artistes dessine le cirque ici et maintenant dans toute sa richesse et sa diversité. [résumé de l'éditeur]

In this volume, twenty-four creators come together with three scholars to discuss Contemporary Circus, bridging the divide between practice and theory.

Lavers, Leroux, and Burtt offer conversations across four key themes: Apparatus, Politics, Performers, and New Work. Extensively illustrated with fifty photos of Contemporary Circus productions, and extensively annotated, Contemporary Circus thematically groups and contextualises extracts of conversations to provide a sophisticated and wide-ranging study supported by critical theory.

Of interest to both practitioners and scholars, Contemporary Circus uses the lens of ‘contestation,’ or calling things into question, to provide a portal into ways of seeing today’s circus performance.

Conversations with: Lachlan Binns and Jascha Boyce (Gravity and Other Myths), Tilde Björfors (Cirkus Cirkör), Kim ‘Busty Beatz’ Bowers (Hot Brown Honey), Shana Carroll (The 7 Fingers), David Clarkson (Stalker), Philippe Decouflé (Compagnie DCA), Fez Faanana (Briefs), Mike Finch (Circus Oz), Daniele Finzi Pasca (Compagnia Finzi Pasca), Sean Gandini (Gandini Juggling), Firenza Guidi (ElanFrantoio, NoFit State Circus), Jo Lancaster and Simon Yates (Acrobat), Johann Le Guillerm (Cirque Ici), Yaron Lifschitz (Circa), Chelsea McGuffin (Company 2), Phia Ménard (Compagnie Non Nova), Jennifer Miller (Circus Amok), Adrien Mondot (Compagnie Adrien M and Claire B), Charlotte Mooney and Tina Koch (Ockham’s Razor), Philippe Petit (high wire artist), and Elizabeth Streb (STREB EXTREME ACTION). [editor summary]

Learning from your living body is now possible. This book brings together films recorded on GoPro cameras, complied on a DVD produced by Raoul Bender, our photographs taken at training sessions and our interviews with artists from the National Centre for Circus Arts (Centre national du cirque, CNAC) in Châlons-en-Champagne.

Each person can recognise three types of movements in their bodies: the involuntary gestures that our living body makes as it adapts, gestures integrated by techniques and learning, and intentional gestures that are aware of our motor decisions.

Emotions, affects, fear and vertigo find unique information in the living body which contribute to our well-being. Analysing movement boosts both body confidence and self-esteem. Sharing gestures with other bodies nurtures good intercorporeality. [editor summary]

Alexander Vantournhout et Bauke Lievens se sont rencontrés pour la première fois il y a quatre ans. Il fait du mouvement et est circo-/chorégraphe, elle est dramaturge et chercheuse. Un dialogue artistique inspirant et orageux est né, il s’est étendu en 2016 à un ménage-à-trois avec l’arrivée de l’artiste de cirque Raphaël Billet. En tant que duo créatif, Alexander et Bauke ont à leur actif ANECKXANDER (2015) et Raphaël (2017), deux spectacles qui explorent les limites du cirque en tant que langage, genre et tradition artistique. Ensemble ces deux pièces forment un diptyque, unies par leur recherche continuelle sur la relation physique d’un artiste de cirque à un objet et au regard de l’autre. ‘Is there a way out of here?’ essaie de retracer les chemins de la recherché de manière rétrospectiv. Trois voix différentes entrent en dialogue avec l’écrivain et journaliste anglais John Ellingsworth. ils reviennent sur une quête partagée, évoquant un travail solitaire dans des salles de bains norvégiennes, la réalité de la fiction et comment dans le cirque de création on se cogne toujours la tête contre un mur qu’on a construit soi-même. [résumé de l'éditeur]

Apprendre de son corps vivant est désormais possible. Ce livre réunit des films tournés en GoPro, repris dans un DVD réalisé par Raoul Bender / Unité de production audiovisuelle du Cnac, des photographies à l’entraînement et des entretiens avec les étudiants du Centre national des arts du cirque (CNAC) de Châlons-en-Champagne.

Chacun peut reconnaitre trois types de mouvements dans son corps : les gestes involontaires produits par l’adaptation de notre corps vivant, les gestes incorporés par les techniques et les apprentissages, les gestes intentionnels et conscients de nos décisions motrices. Émotions, affects, peur et vertige trouvent dans le corps vivant des informations inédites qui contribuent à notre bien-être.

L’analyse du mouvement favorise à la fois la confiance corporelle et l’estime de soi. Le partage des gestes avec les autres corps nourrit une belle intercorporéité. [résumé de l'éditeur]

Katrin Wolf conduit ses recherches à partir d’une notation créée en 1955 par Rudolf Benesh pour transcrire le mouvement humain. Incité à cette invention par sa femme Joan Benesh, danseuse au Sadler’s Wells Ballet, Rudolf Benesh, mathématicien, fonde le Benesh Institute of Choreology à Londres en 1962. Son système se diffuse dans les sphères de l’enseignement en danse. De nos jours, cette notation visuelle, synthétique et très maniable, est principalement appliquée aux mouvements dansés. Elle est utilisée dans les compagnies de répertoire où les notateurs font partie intégrante de l’équipe artistique. La notatrice Dany Levêque, par exemple, crée les partitions de toutes les créations du chorégraphe Angelin Preljocaj.

La démarche de Katrin Wolf repose sur l’adaptation de cette notation du mouvement aux disciplines circassiennes. Le système permet de séparer diverses informations liées au temps, à l’espace, à la dynamique, au corps et à l’objet, puis de les composer pour permettre leur interaction dans la lecture. Ces partitions peuvent se superposer avec d’autres écritures comme la notation musicale ou le système siteswap pour le jonglage. Il s’agit ainsi de développer un outil et un langage à vocation universel pour les arts du cirque, permettant à la fois la communication, la création, l’analyse et la transmission, favorisant à long terme la constitution d’un répertoire écrit du cirque. Cette nouvelle modalité de transmission par le biais de traces écrites renouvelle les conditions de reprise pour les interprètes. L’outil de notation permet à la fois la composition, l’apprentissage et la reprise des œuvres. Par ailleurs, la connaissance de l’écriture de mouvements offre au circassien la possibilité d’aiguiser son regard et d’affiner son analyse du mouvement, en lien avec sa pratique.

Katrin Wolf conduit ses recherches à partir d’une notation créée en 1955 par Rudolf Benesh pour transcrire le mouvement humain. Incité à cette invention par sa femme Joan Benesh, danseuse au Sadler’s Wells Ballet, Rudolf Benesh, mathématicien, fonde le Benesh Institute of Choreology à Londres en 1962. Son système se diffuse dans les sphères de l’enseignement en danse. De nos jours, cette notation visuelle, synthétique et très maniable, est principalement appliquée aux mouvements dansés. Elle est utilisée dans les compagnies de répertoire où les notateurs font partie intégrante de l’équipe artistique. La notatrice Dany Levêque, par exemple, crée les partitions de toutes les créations du chorégraphe Angelin Preljocaj.

La démarche de Katrin Wolf repose sur l’adaptation de cette notation du mouvement aux disciplines circassiennes. Le système permet de séparer diverses informations liées au temps, à l’espace, à la dynamique, au corps et à l’objet, puis de les composer pour permettre leur interaction dans la lecture. Ces partitions peuvent se superposer avec d’autres écritures comme la notation musicale ou le système siteswap pour le jonglage. Il s’agit ainsi de développer un outil et un langage à vocation universel pour les arts du cirque, permettant à la fois la communication, la création, l’analyse et la transmission, favorisant à long terme la constitution d’un répertoire écrit du cirque. Cette nouvelle modalité de transmission par le biais de traces écrites renouvelle les conditions de reprise pour les interprètes. L’outil de notation permet à la fois la composition, l’apprentissage et la reprise des œuvres. Par ailleurs, la connaissance de l’écriture de mouvements offre au circassien la possibilité d’aiguiser son regard et d’affiner son analyse du mouvement, en lien avec sa pratique. [résumé de l'éditeur]

This book takes its starting point in a rare experiment, that of an academic researcher attempting to learn to do circus. What happens to the knowledge of the performance theoretician when physically engaging with the circus arts? One of the (im)material outcomes of this experiment is what the author calls "homemade academic circus” - a series of lecture-performances on performance-related academic questions, presented and discussed through circus disciplines. The interest of homemade academic circus, and the analysis of it presented in this book, lies not only in the fact that it is a form of curiosity within academic research. It is also worth noting that the main character in this experiment (sometimes known as the “professional amateur” or the “academic freak”, the alter egos of the researcher) goes through the opposite process of what many artists within artistic and practice-based research experience today. What happens if, rather than going from art to academia, one would go from academia to art? Which cultural and paradigmatic shocks would that produce, and how would that influence the researcher’s understanding of knowledge and thinking? [editor summary]

The Routledge Circus Studies Reader offers an absorbing critical introduction to this diverse and emerging field. It brings together the work of over 30 scholars in this discipline, including Janet Davis, Helen Stoddart and Peta Tait, to highlight and address the field’s key historical, critical and theoretical issues. It is organised into three accessible sections, Perspectives, Precedents and Presents, which approach historical aspects, current issues, and the future of circus performance.

The chapters, grouped together into 13 theme-based sub-sections, provide a clear entry point into the field and emphasise the diversity of approaches available to students and scholars of circus studies. Classic accounts of performance, including pieces by Philippe Petit and Friedrich Nietzsche, are included alongside more recent scholarship in the field.

Edited by two scholars whose work is strongly connected to the dynamic world of performance, The Routledge Circus Studies Reader is an essential teaching and study resource for the emerging discipline of circus studies. It also provides a stimulating introduction to the field for lovers of circus. [editor summary]

Philip Astley first pegged out his circular 'ride' on the banks of the Thames in 1768 and so laid down the foundations of the modern circus. Performing feats of trick riding with his wife Patty Jones, little did he realise that before long women would become a dominant force in the circus. Sawdust Sisterhood explores how the circus empowered women and gave them the opportunity to compete and succeed as performers in their own right in an otherwise masculine world. Drawing upon historical news reports and contemporary interviews, the book explores the lives of female circus performers and focuses upon several of the more well-known artistes from across two centuries of circus, including; Madame Saqui, the renowned French wire-walker of the early nineteenth century; Nellie Chapman, the Victorian 'Lion Queen' of Wombwells's Menagerie and Circus; and Katie Brumbach, otherwise known as Sandwina, perhaps the most famous Strongwoman of the twentieth century. Sawdust Sisterhood acknowledges the role of the female circus performer across the centuries.

As paragons in heir field, these women became rich, famous and powerful despirte the prevailing sexist attitudes of their time. They often had to overcome undue criticism of their work and censure from those who felt their acts were at best inappropritate and at worst immoral. In performing remarkable, often death-defying physical feats, these women subverted the classic ideals of femininity and undoubtedly contributed to the later sexual revolution.

Sawdust sisterhood explores the journeys of these women and their contributions to the advancement of women's rights. Steve Ward, an expert on the circus, draws together various primary sources. newspaper articles, and feministe scholarship to give a full picture of the pivotal role of women in this medium. He also includes interviews with contemporary female performers and over thirty exquisite images. This is a detailed, personal, and deeply moving account of an often overloocked aspect of the struggle for female emancipation. [Editor's summary]

Katrin Wolf conduit ses recherches à partir d'une notation créée en 1955 par Rudolf Benesh pour transcrire le mouvement humain. Incité à cette invention par sa femme Joan Benesh, danseuse au Sadler's Wells Ballet, Rudolf Benesh, mathématicien, fonde le Benesh Institute of Choreology à Londres en 1962. Son système se diffuse dans les sphères de l'enseignement en danse. De nos jours, cette notation visuelle, synthétique et très maniable, est principalement appliquée aux mouvements dansés. Elle est utilisée dans les compagnies de répertoire où les notateurs font partie intégrante de l'équipe artistique. La notatrice Dany Levêque, par exemple, crée les partitions de toutes les créations du chorégraphe Angelin Preljocaj.

La démarche de Katrin Wolf repose sur l'adaptation de cette notation du mouvement aux disciplines circassiennes. Le système permet de séparer diverses informations liées au temps, à l'espace, à la dynamique, au corps et à l'objet, puis de les composer pour permettre leur interaction dans la lecture. Ces partitions peuvent se superposer avec d'autres écritures comme la notation musicale ou le système siteswap pour le jonglage. Il s'agit ainsi de développer un outil et un langage à vocation universel pour les arts du cirque, permettant à la fois la communication, la création, l'analyse et la transmission, favorisant à long terme la constitution d'un répertoire écrit du cirque. Cette nouvelle modalité de transmission par le biais de traces écrites renouvelle les conditions de reprise pour les interprètes. L'outil de notation permet à la fois la composition, l'apprentissage et la reprise des oeuvres. Par ailleurs, la connaissance de l'écriture de mouvements offre au circassien la possibilité d'aiguiser son regard et d'affiner son analyse du mouvement, en lien avec sa pratique. [résumé de l'éditeur]

During the last 300 years circus clowns have emerged as powerful cultural icons. This is the first semiotic analysis of the range of make-up and costumes through which the clowns' performing identities have been established and go on developing. It also examines what Bouissac terms 'micronarratives' - narrative meanings that clowns generate through their acts, dialogues and gestures.

Putting a repertory of clown performances under the semiotic microscope leads to the conclusion that the performances are all interconnected and come from what might be termed a 'mythical matrix'. These micronarratives replicate in context-sensitive forms a master narrative whose general theme refers to the emergence of cultures and constraints that they place upon instinctual behaviour.

From this vantage point, each performance can be considered as a ritual which re-enacts the primitive violence inherent in all cultures and the temporary resolutions which must be negotiated as the outcome. Why do these acts of transgression and re-integration then trigger laughter and wonder? What kind of mirror does this put up to society? In a masterful semiotic analysis, Bouissac delves into decades of research to answer these questions. [editor summary]

Du cirque au manga, du cinéma d'horreur et gore à la photographie réaliste et mortuaire, cet ouvrage invite le lecteur à un voyage dans les ténèbres jalonné d'éclairages, comme autant de garde-fous. En multipliant sa présence, l’horreur, et ses représentations qui fascinent autant qu'elles révulsent, tissent un réseau complexe d’affinités entre les disciplines. Ce dont rendent compte les auteurs sollicités par Frédéric Astruc au travers d’analyses convoquant les sciences humaines (histoire, psychanalyse, sociologie, anthropologie…) et les arts. Les représentations de l’horreur sont multiples, balisant un sujet tabou qui implique fatalement la transgression, sujet « chaud » pour celui qui le traite, qui ne peut faire autrement que de s’engager psychologiquement et émotionnellement, de courir le risque de sa subjectivité. Rapprochant les œuvres supposées mineures et les œuvres majeures, suivant la dynamique horrifique combinant le noble et l’ignoble, l'ouvrage explore les territoires d’une esthétique singulière indépendamment des genres et des périodes, appréhende l’horreur en sa chair, mais aussi en ses vibrations et en ses résonances. [résumé de l'éditeur]

Depuis le romantisme, le bouffon, le saltimbanque et le clown, ont été les images hyberboliques et volontairement déformantes que les artistes se sont plu à donner d'eux-mêmes et de la condition même de l'art. Il s'agit là d'un autoportrait travesti, dont la portée ne se limite pas à la caricature sarcastique ou douloureuse. Une attitude si constamment répétée, si obstinément réinventée à travers trois ou quatre générations requiert l'attention. Le jeu ironique a la valeur d'une interprétation de soi par soi : c'est une épiphanie dérisoire de l'art et de l'artiste. La critique de l'honorabilité bourgeoise s'y double d'une autocritique dirigée contre la vocation "esthétique" elle-même. Nous devons y reconnaître une des composantes caractéristiques de la "modernité", depuis un peu plus d'une centaine d'années. [résumé de l'éditeur]