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Numéros de revues

Stradda, n°20 : La ville, la nuit

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Date de publication : avril 2011

Langue : Français

Dépouillement du document :
Opinion d’Eric Labbé, DJ, activiste de la scène électronique parisienne.

Entretien avec Michel Maffesoli, sociologue : « Il faut savoir écouter l’herbe qui pousse ».

« Mexico, Sombres héros », un reportage coordonné par Emmanuelle Dreyfus.

« ...dans les recoins de la ville, l’art contemporain émerge, et les traditions populaires sont encore bien vivantes. Avec l’aide de correspondants sur place, Stradda a parcouru le nuit mexicaine : celle des saltimbanques des feux rouges, des ravers huppés, des baileros des quartiers populaires. »

[Thomas Glassford au centre culturel de Tlatelolco, "El dia de los muertos", La Galeria, La Nuit des Alebrijes, Guillaume Murati, Bals spontanés à Tepito...]

« L’Art du détournement, version U.S. », un reportage d’Emmanuelle Dreyfus.

« Pratiquée par les dadaïstes, théorisé par les situs, le détournement séduit autant les artistes que les activistes politiques. A la pointe de cette pratique qui s’empare des références d’une société pour mieux les tourner en dérision et les dénoncer : l’Amérique.... »
[Poster Boy, Billboard Liberation Front, Révérend Bill, The Yes Men...]

« Subversion & Compagnies », une enquête de Julie Bordenave.

« Entre un public trop acquis à la cause et des spectacles toujours plus consensuels, les arts de la rue peinent à conserver leur verve militante. Comment déjouer des écueils largement identifiés ? Focus sur quelques démarches engagées qui bousculent la rue et ses alentours. »
[Cacahuète, Kumulus, Action discrète, Le Théâtre de l’Unité, Théâtre Group’, Le Pavé, Mathurin Gasparini...]

Itinéraire de Dries Verhoeven l’homme-orchestre, par Anne Gonon

Carnet de route par Edgar Chias, acteur et dramaturge mexicain : « La nuit est île / Isla es la noche »

Résumé :
Spontanément, on croit la connaître ; officiellement, elle occupe une bonne moitié de notre existence.
On y festoie, on y travaille, on y zone, on y dort... et on y regarde de plus près. Ainsi va la nuit urbaine, ni tout à fait occulte, ni tout à fait transparente. parce qu’elle nous raconte une certaine façon de vivre la ville que l’on voudrait toujours plus libre, Stradda a choisi de partir à la rencontre de ceux qui explorent, pensent et sculptent la nuit : une poignée de chercheurs noctambules, militant pour que l’on se fabrique une une vraie culture de la ville la nuit ; des artistes qui créent hors des heures ouvrables pour qu’elle se trouve enchantée, poétisée ou politisée. Ils sont plasticiens de la lumière, graffeurs de l’ombre, auteurs sonores, vidéastes, et amoureux des heures où le jour se meurt. Espace-temps normalisé, et/ou territoire à conquérir : et si l’on se reprenait à rêver de nuits plus affranchies que nos jours ?

Collection : Bibliothèque de l'École nationale de cirque

Localisation : Périodiques

Cote : STR-20

  • Ex. 1 — Consultation sur place

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