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Experimental fashion has a dark side, a preoccupation with representations of death, trauma, alienation and decay. This seminal publication offers an unexpected discussion of cutting-edge fashion in the 1990s, exploring what its disturbing themes tell us about consumer culture and contemporary anxieties. Caroline Evans analyses the work of innovative designers, the images of fashion photographers and the spectacular fashion shows that developed in the final decade of the twentieth century to arrive at a new understanding of fashion’s dark side and what it signifies.

Fashion at the Edge considers a range of ground- breaking fashion in unprecedented depth and detail, including the work of such designers as John Galliano, Alexander McQueen, Hussein Chalayan and Viktor & Rolf, and photographers such as Steven Meisel, Nick Knight and Juergen Teller.

Drawing on diverse perspectives from Marx to Walter Benjamin, Evans shows that fashion stands at the very centre of the contemporary, and that it voices some of Western culture’s deepest concerns.

Cuir, soie, corset, talons aiguilles bien sûr, mais aussi maille, métal, Nylon, uniforme... loin de proposer une vision réductrice du fétichisme dans la mode, qui tendrait uniquement à l'aborder d'un point de vue sexuel, cet ouvrage met en relief les liens étroits qu'entretiennent depuis toujours les deux univers aussi bien dans l'inconscient collectif que dans celui de la plupart des créateurs.. En partant de la définition première du mot fétiche, à savoir objet de culte chargé de pouvoirs magiques et bénéfiques, Geneviève Lafosse, journaliste de mode depuis vingt ans, propose une relecture de l'histoire de la mode, de ses tendances et de ses diktats. Si l'habit ne fait pas le moine, nous sommes aussi ce que nous choisissons de porter, tout comme les grands couturiers se définissent au travers des matières qu'ils préfèrent travailler ou des vêtements qu'ils créent.. Accompagné de nombreuses interviews de créateurs et de plus de 200 illustrations, cet ouvrage aborde de manière inédite le monde si fantasmé de la mode.

La mode et le mouvement surréaliste entretiennent, dès l'origine de ce dernier, nombre d'affinités. "La beauté sera convulsive ou ne sera pas", déclarait André Breton dans les années trente. Cette maxime pourrait servir de devise à l'univers de la mode. Née du rêve d'un créateur, elle est, au sens propre du terme, surréelle. Un escarpin rouge métamorphosé en bibi, un gant aux longs ongles dorés, un manteau bureau, une robe homard... les surréalistes ont décousu la mode bourgeoise pour lui donner le goût du "scandale". Aujourd'hui, le génie d'un Salvador Dali, d'un Max Ernst ou d'un René Magritte continue d'influencer les plus grands créateurs, tels Yves Saint Laurent, Jean-Paul Gaultier, John Galliano ou Serge Lutens..

I think and hope I have changed the way we look at hats. They are no longer symbols of conformity but highly individual acts of rebellion. I am constantly challenging the perception of what a hat should be and what role it should play. --Philip Treacy No one who loves hats will be able to resist the wonderful story of the Irishman who creates timeless headwear. Born in County Galway to a plentiful family made up of a baker father, seven brothers, and a sister, Philip Treacy was taught to hold a sewing needle by his tiny village's school teacher. With it, he has freed the hat from the dictums of fashions and trends, creating sculptures for the crown out of veils, feathers, artificial flowers, straw, and gauze, as well as shadows and illusion.