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It is normal to feel frustrated and sad about aspects of modern capitalism. At the same time, realistic hope of change can seem either utopian or demented. In fact, the way that capitalism works is inherently open to alteration and improvement. This is because the problems of capitalism are, in their essence, not about money, law, or politics, but about human psychology - the field of expertise of The School of Life.

As this bold essay argues, the path to a better sort of capitalism starts with a clear-eyed understanding of our emotional functioning and the workings of our psyches. What follows is nothing less than a blueprint, revolutionary yet utterly practical, for a wiser and better kind of capitalism.

A User's Guide to Capitalism and Schizophrenia is a playful and emphatically practical elaboration of the major collaborative work of the French philosophers Gilles Deleuze and Felix Guattari. When read along with its rigorous textual notes, the book also becomes the richest scholarly treatment of Deleuze's entire philosophical oeuvre available in any language. Finally, the dozens of explicit examples that Brian Massumi furnishes from contemporary artistic, scientific, and popular urban culture make the book an important, perhaps even central text within current debates on postmodern culture and politics.
Capitalism and Schizophrenia is the general title for two books published a decade apart. The first, Anti-Oedipus, was a reaction to the events of May/June 1968; it is a critique of "state-happy" Marxism and "school-building" strains of psychoanalysis. The second, A Thousand Plateaus, is an attempt at a positive statement of the sort of nomad philosophy Deleuze and Guattari propose as an alternative to state philosophy. [editor summary]

Dans cet ouvrage qui fait suite à L’Anti-Œdipe paru en 1972, Deleuze-Guattari remettent en question non seulement les fondements du structuralisme analytique et marxiste, mais aussi toutes les théories, qu’elles soient de la communication ou de l’information, qui visent à une systématisation.
Au système, ils substituent une sorte de patchwork qui distingue l’espace lisse de l’espace strié selon des multiplicités de devenirs, d’intensité qui interviennent à travers tous les régimes de signe.
De la même façon qu’ils avaient reconstruit une politique de Kafka dans laquelle son œuvre se donnait à lire comme une machine d’écriture aux ramifications multiples qui faisait apparaître une langue arrachée au sens, à la représentation et au pouvoir, de la même façon, dans Mille plateaux, Deleuze-Guattari retraversent tous les régimes de signe : la linguistique et l’écriture bien sûr mais aussi la musique, la philosophie, la psychiatrie, l’économie et l’histoire : celle des peuples et celle de l’appareil d’État.
Chacun de ces ensembles constitue un plateau c’est-à-dire “ une région continue d’intensités ” et tous ces plateaux qui s’enchevêtrent, dessinent des combinaisons, perpétuelles entre des forces majeures et mineures qui forment la trame de Mille plateaux.
En effet, il ne s’agit pas de distinguer entre majeur et mineur, mais de concevoir leur devenir, étant entendu qu’il n’y a de devenir que minoritaire. Et c’est un des grands intérêts de cet ouvrage que de ne jamais se poser en institution. Deleuze-Guattari ne s’intéressent qu’aux transformations du champ social à travers ses lignes de fuite qui concernent les éléments de l’art, de la science et de la politique.
[Résumé de l'éditeur]