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In revolutionary France, a girl named Marguerite Lalanne longed to perform above large crowds on a tightrope, just like her acrobatic parents. Sneaking off to the fairgrounds for secret tightrope walking lessons, Marguerite finessed her performance skills, ultimately performing for crowds as a young rope dancer. And eventually, Marguerite would perform as Madame Saqui, waltzing and pirouetting across- and never falling off- countless ropes above adoring crowds. A nouvelle chřie de Paris, Madame Saqui cemented her place in circus history, winning the adoration of the French people and royalty alike, including Emperor Napoleon Bonaparte.

For French funambulist, Jean-François Gravelet, aka The Great Blondin, routine performances on his tightrope became too dull, too boring, too ordinaire. Fame wasn’t enough to satisfy his artistic yearnings. He imagined dramatic and exciting feats that nobody had ever attempted. It took a fateful trip to Niagara Falls in 1858 to spark his most creative idea—to perform on a tightrope over the raging Niagara River. With the help of STEAM skills, The Great Blondin engineered his rope and proved that what can be imagined can be accomplished. Magnifique!

When the Great Blondin announced that he was going to walk from America to Canada across the Niagara River on a rope that was more than 1,100 feet long and just 3 inches wide, hanging 160 feet above the raging river, people came from everywhere. Some came to watch him cross. Some came to watch him fall. Some thought he wouldn’t show up at all. But he did show up. And he did walk across the river. And then he did something else amazing. He crossed the river on that tightrope again and again, adding another death-defying flourish each time. Matt Tavares’s gorgeous, riveting account of the daredevil of Niagara Falls is sure to hold readers in its grip, just as Blondin's feats enthralled those spectators on the cliffs more than one hundred and fifty years ago.

Décrit comme le non-conformisme incarné, «poète et visionnaire», «Rabelais du cirque » Pierric Pillot dit Pierrot Bidon, créateur de plusieurs compagnies de cirque et metteur en scène de plus de quatre-vingt spectacles dans le monde entier, « fait partie de ces défricheurs d art que furent Merce Cunningham ou Pina Bausch ». Ses créations enflammèrent ou traumatisèrent mais ne laissèrent jamais le public indifférent, de Paris à Rio en passant par Londres ou Moscou. « Tout ce qu on dit on le fait, tout ce qu on veut on l a. » Son humour provocateur dissimule des préceptes d engagement et d audace sur lesquels il n a jamais transigé. Détourneur d actions, pirate de l art, défricheur à la tronçonneuse, il n en reste pas moins attaché à la tradition circassienne et admiratif de la performance. Profondément libre, anar même, il transgresse en permanence les règles dans la vie comme sur scène et contribue, dès les années 1970, à remettre le cirque en phase avec son temps afin « d offrir au public le spectacle de ses propres rêves ». De l épopée fellinienne du Cirque Bidon à l épure immaculée de Place des Anges en passant par la folie grinçante d Archaos ou la transe poétique de Circus Baobab, les images de ses créations ont irrémédiablement bouleversé la face du cirque dans le monde entier. Ce récit biographique livre les réflexions de Pierrot Bidon et donne la parole aux complices et témoins de ses aventures, acteurs culturels, gens de cirque et de scène issus du monde entier. Tout autant que son apport artistique incontestable, c est le caractère libre et intempestif, la passion et la détermination d un homme hors du commun que ce livre s attache à restituer.[résumé de l'éditeur]

C'est par le biais de la vie de l'auteur, Philippe Petit, célèbre funambule mais aussi magicien et jongleur des rues, que l'on découvre les subtilités de cette activité criminelle pas comme les autres. Il propose, dans ce merveilleux livre, un inventaire de tous les coups et tours de main pour exceller dans cet art de la triche. Il offre également des anecdotes sur les origines et l'historique de la profession, son évolution, ses représentations à travers la peinture, le cinéma, la littérature et les arts de la scène, mais aussi à travers l'étymologie, les maximes, les contes et les faits divers.

Annie Fratellini est un clown. C'est un auguste. D'abord, je suis certainement son meilleur spectateur - qui rit, qui pleure. Mais aussi, j'ai vu le travail précis, rigourreux, répété. Elle prépare. Elle construit. Je sais d'elle les enthousiasme, ls volontés, les certitudes. Et sa "gentillesse", celle dont parle Copeau dans ce livre.
Un clown ne peut ni mentir, ni tricher. Elle donne et partage. Cela commence avec son audace dans le miroir, ce partenaire exigeant et complice.
Je voudrais être un trait d'union entre elle et d'autres, par mes images saisies - avec un trac fou - dans les instants fragiles et intenses d'un rond de lumière.
Alors je ne suis plus seulement le spectateur qui applaudit, je descends moi aussi dans la piste, et je suis - peut-être - un contrepitre. [Résumé de l'auteur]

Biographie de la première femme clown de la légende du cirque. Après la guerre, le cirque tourne une page de son histoire. Annie Fratellini, "enfant de la balle", choisit d'autres horizons : le jazz, la télévision, le cinéma oèu elle tournera sous la direction de Louis Malle, Piere Granier-Deferre et Pierre Etaix.
Son destin de clown la rattrape, favorisé par sa rencontre avec Pierre Etaix. Ils seront mari et femme et cowns, offrant le duo le plus surprenant du cirque contemporain. Annie Fratellini sera l'auguste, trente ans aprèes Paul Fratellini, Pierre Etaix sera le clown blanc. En 1972, ils crééent l'École nationale du cirque, assurant ainsi le renouveau de cet art. [Résumé de l'éditeur]